Les samedis 5 et 19 novembre a eu lieu le curage des drains.
Samedi 5 novembre.
Le drain du km 41.021 est complément bouché. Il faut retrouver les orifices amont et aval. Pour l’amont, une pompe alimentée par le groupe électrogène est installée. Pour l’aval, il faut dégager la végétation et gratter le talus.
Dans le même temps, à force de gratter le talus, nous retrouvons l’orifice aval du drain.
La pompe n’a pas aspirée que de l’eau, mais tout ce qui trainait dans la mare. Un nettoyage s’impose.
Après une bonne heure et demie de pompage, la mare est vidée.
Nous pouvons enfin découvrir l’orifice amont du drain.
Mais nous n’avons pas sur place le matériel nécessaire pour essayer de déboucher le drain: un jet haute pression.
Samedi 19 novembre, la journée commence mal !
Le tuyau d’alimentation de la lance incendie est percé, le compresseur fait déclencher le disjoncteur général et il est impossible de trouver du SP98 dans toute la vallée de la Brévenne pour l’alimentation du groupe électrogène et le moteur de la motopompe du pulvérisateur.
Pendant que le tuyau d’eau est remplacé dans le dépôt et que l’on trouve du SP98 à Chazelles, la cuve du pulvérisateur est sortie du G10 pour être installée sur la remorque Coder.
L’objectif de l’intervention de ce samedi est de déboucher le drain du km 41.021 à l’aide d’un jet haute pression.
Il faut donc un nettoyeur haute pression et une réserve d’eau. Tout cela est embarqué sur la remorque Coder.
Le nettoyeur haute pression est raccordé au groupe électrogène et alimenté en eau par la cuve du pulvérisateur.
La lance est enfouie dans le drain mais est très vite en butée contre du ballast.
Il faut dégager à la main les cailloux, mais très rapidement le constat est sans appel: la partie supérieure du drain est effondrée et le ballast comble le conduit.
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